La dermatite atopique, maladie multifactorielle impactant le physique et le psychologique, ne trouve aujourd’hui pas de réponse médicale satisfaisante, selon les scientifiques et les patients. 2,5 millions de personnes sont concernées en France. Le projet Deuxième peau propose, afin de rétablir le rôle de barrière protectrice non rempli par la peau lésée, une collection d’objets pansement réutilisables, à porter sur les zones atteintes, dont la fibre agit de façon neutre ou bénéfique. Avec ses protections textiles locales, ce projet cherche à aider à l’acceptation de la maladie et à donner de l’autonomie à des patients souvent déçus du corps médical, par l’apport d’explications du fonctionnement physiologique de la maladie.